C'est autour des années 70 que je me mets à peindre, figuratif tout d'abord, j'essaie de représenter ma vision des choses. Je peins la nature et toute une série de nus, une façon de traduire l'amour entre hommes et femmes. Puis non satisfait de cette forme d'expression, la figure disparaît progressivement pour laisser la place à une expression qui me permet de me libérer davantage, mes lectures et ma curiosité pour la philosophie orientale ont un réel retentissement sur ma démarche et, de plus en plus ma peinture devient trace, signe, pour aboutir finalement à une expression de l'aléatoire.
Pour moi la peinture n'est pas dissociable de la vie même, elle s'intègre complètement dans celle-ci avec ce qu'elle a de plus beau et de plus laid, et je crois qu'elle contribue à nous élever un peu plus vers l'inconnu.
De plus en plus je travaille dans l'instant, le spontané, ce qui me préoccupe c'est l'aléatoire et l'inattendu. La réalisation d'une toile n'est pas le résultat d'esquisses ou de dessins préalablement réalisés, mais le résultat d'une entreprise qui prend forme sur le champ et qui par l'action, donne naissance à l'oeuvre immédiatement avec ses réussites mais aussi ses défauts.
Pour moi la peinture n'est pas dissociable de la vie même, elle s'intègre complètement dans celle-ci avec ce qu'elle a de plus beau et de plus laid, et je crois qu'elle contribue à nous élever un peu plus vers l'inconnu.
De plus en plus je travaille dans l'instant, le spontané, ce qui me préoccupe c'est l'aléatoire et l'inattendu. La réalisation d'une toile n'est pas le résultat d'esquisses ou de dessins préalablement réalisés, mais le résultat d'une entreprise qui prend forme sur le champ et qui par l'action, donne naissance à l'oeuvre immédiatement avec ses réussites mais aussi ses défauts.
Jean-Yves Bocher - Artiste Peintre
© 2007 Jean-Yves Bocher